C’est prouvé scientifiquement, passer du temps en pleine nature est nécessaire au bien-être. En tant qu’association dédiée à la sensibilisation au vivant, on s’en doutait un peu ! Mais plus intéressant encore, les scientifiques ont prouvé que passer du temps en pleine nature « répare » nos capacités attentionnelles qui s’épuisent dans nos vies haletantes. Renouer avec les milieux naturels laisserait place à l’imagination et à la créativité qui semblent nous manquer cruellement en ces temps moroses.
Alors, comment répare-t-on nos liens au vivant et plus largement notre monde ? Éléments de réponse !
C’EST LA SCIENCE QUI LE DIT !
Rappelez-vous cette balade dans les bois l’odeur de l’humus plein les narines, au bord d’un lac ou de l’océan accompagné du clapotis ou des vagues, cette sieste sous un grand chêne pédonculé bercé par le vent dans les feuilles, ou encore cette marche dans les marais en fin de journée à la « golden hour » comme disent les anglais. Tout ce temps passé en milieu naturel a peut-être été pour vous, et ce souvent, un antidote à la morosité et une expérience de joie.
Dès les années 1980, Rachel et Stephen Kaplan, deux professeurs de psychologie expérimentale à l’université du Michigan, découvrent grâce à l’imagerie que, face à un paysage, le cerveau se cale sur une longueur d’onde particulière (dite alpha) qui engendre un état de « fascination douce ».
© Photo : Rachel & Stéphane Kaplan, Université du Michigan
Cet état permet de passer d’une attention dirigée volontaire à une attention non dirigée liée à la créativité et à l’imagination.
Barabara Bonnefoy, chercheuse en psychologie sociale , corrobore les dires en expliquant que regarder la neige tomber, écouter le chant des oiseaux ou encore sentir des plantes, sont des moments qui nous plonge dans un état contemplatif. Ce mécanisme d’attention libère des pensées parasites et favorise la réflexion, le temps s’allonge et nous reconnectons à l’instant présent. Étant donné que notre attention n’a pas besoin d’être dirigée, passer du temps en nature restaure ainsi nos capacités d’attention de manière générale.
Ce n’est pas que la nature nous fait du bien,
c’est le fait de ne pas être dans la nature qui nous fait du mal
Jordy Stefan
Alors, le lien avec le vivant serait-il inné ? Jordy Stefan, docteur en psychologie environnementale français explique que de nombreuses études à travers le monde confirment que le contact avec la nature réduit l’anxiété et augmente la confiance en soi. D’après lui, passer du temps en nature n’est rien d’autre que revenir à nos origines. Et s’il fallait le démontrer, les confinements successifs des années précédentes ont plutôt bien rempli cette mission.
ALLEZ HOP, DEHORS !
Le journaliste américain Richard Louv a été le premier à parler du « syndrome du manque de nature », en 2005 en s’appuyant sur des données médicales qui mettent en avant les bienfaits d’un contact avec la nature mais aussi les méfaits d’une déconnexion.
D’après ses recherches, ce syndrome causerait de nombreux troubles physiques et psychologiques, dont l’obésité serait le premier symptôme. Viennent ensuite le stress, la dépression, le diabète, l’hypertension, d’autres pathologies liées à une sédentarité grandissante et à un manque de lumière naturelle.
Cela parait peut-être évident comme rappel, mais le contact avec nos milieux naturels est vital pour les êtres humains afin de répondre à nos besoins physiologiques mais aussi pour notre santé psychique, et ce, au même titre qu’une zone humide est vitale à une grenouille rousse afin qu’elle puisse y faire naître ses petits.
UNE CRISE DE LA SENSIBILITÉ AU VIVANT
Oui, mais voilà, il semblerait que désormais l’écrasante majorité des êtres humains passe la majeure partie de sa vie en intérieur (sondage YouGov 2018). L’on pourrait ainsi se demander si, en plus du mal-être général que le manque de nature peut générer, si la crise écologique ne serait-elle pas éminemment liée à une crise de sensibilité au vivant due à cette profonde déconnexion ?
C’est ce qu’affirme Baptiste Morizot, enseignant-chercheur émérite et philosophe, auteur de nombreux livres sur le sujet :
Baptiste Morizot nous invite ainsi à ajuster notre regard et remettre au goût du jour ce lien précieux et vital d’interdépendance que les humains entretiennent avec le reste du vivant. Contrairement à ce que notre culture occidentale aimerait nous faire penser, ce que nous nommons « la nature », n’a pas obligatoirement besoin des humains pour se « gérer » et/ou se maintenir à l’équilibre, actuellement, se serait même le contraire. En revanche, les humains ont éminemment besoin de tous leurs co-habitants de la Terre pour se nourrir, boire de l’eau potable, se reposer, se reproduire, construire leurs maisons, se chauffer, se climatiser etc.
Si nous autres humains disparaissons demain,
croyez-vous que les fourmis le remarqueraient ?
Mais si les fourmis disparaissent c’est toute cette vie qui prendrait fin.
Nous avons besoin de ces toutes petites créatures.
Film documentaire Animal de Cyril Dion
Les humains n’auraient à ce jour découvert que 20% de la totalité des espèces vivantes sur Terre que les scientifiques estiment à 10 Millions d’espèces. De nombreux milieux naturels restent méconnus car inexplorés.
Autre constat intéressant, selon la revue scientifique PNAS, si l’on observe le pourcentage de mammifères sur notre planète, on constate que 77% d’entre eux représentent le bétail élevé par et pour les humains, 30% sont les êtres-humains, et seuls 3% concernent les animaux sauvages.
Nous autres humains avons décidé de nous détacher de ces espèces parentes en partant du principe qu’elles vivaient dans un autre monde que nous nommons « nature » où l’humain règne tout puissant. Et pourtant, comme le dit Baptiste Morizot, ce ne sont pas les humains qui rendent notre planète habitable mais bien le reste du vivant, complexe, riche, et non domestiqué. Il serait peut-être temps de leur prêter tout notre intérêt, et que ces co-habitants de la planète Terre intègre notre culture générale.
Oui mais s’intéresser au vivant reviendrait à faire preuve de sensiblerie …
Un enfant qui s’intéresse au vivant, c’est mignon, un biologiste qui observe des plantes est reconnu et jugé important pour la recherche, mais un adulte lambda qui s’intéresse au vivant et s’en émerveille aurait tendance à être considéré comme infantile. Et pourtant s’intéresser à la nature c’est s’intéresser à ce qui nous permet d’être et de se maintenir en vie.
Lorsque l’on tente un état des lieux de nos connaissances en matière d’écologie, au sens de la science qu’elle est – soit l’étude des milieux où vivent les êtres vivants, ainsi que l’étude des rapports qu’ils entretiennent avec le milieu – qu’en est-il ?
- Savons-nous définir ce qu’est « un éco-système » exactement et comment fonctionne-t-il ?
- Connaissons-nous le rôle des zones humides (lacs, rivières, marais, tourbières…) dans la constitution de notre eau potable et dans la régulation du climat ?
- Savons-nous de quoi se nourrissent les plantes exactement pour pousser et comment se reproduisent-elle et grâce à qui ? (spoiler alert : pas vraiment grâce aux humains)
- Savons-nous qui pollinise l’écrasante majorité de nos fruits et légumes ?
- Savons-nous quel rôle jouent les habitants des océans dans la production de l’air que nous respirons et dans le stockage du CO2 ?
Il n’y a pas que les enfants qui sont en capacité de citer davantage de marques en tout genre que de noms d’espèces locales . Les adultes sont eux aussi très souvent davantage en mesure de citer des animaux exotiques comme les zèbres ou les lions, plutôt que les oiseaux et plantes sauvages qui peuplent leurs jardins. Et si nous sommes en capacité de citer quelques noms d’espèces, connaissons-nous réellement leurs rôles dans leur écosystème ?
La récente émission de France 2 « Aux Arbres Citoyens » a tristement montré que même des journalistes intellectuellement engagés sur les enjeux écologiques connaissent finalement assez mal le fonctionnement du vivant qui les entoure. Vincent Verzat, célèbre youtubeur de la chaine youtube écolo et engagée « Partager c’est sympa » a lui-même constaté ses lacunes et décidé d’y remédier en sortant un peu de chez lui :
Avons-nous perdu cette culture qui nous relie au vivant ? Lorsque l’on construit notre maison, lorsque l’on va acheter de la nourriture, lorsque l’on va au travail, le faisons-nous en fonction de nos milieux naturels ?
Batiste Morizot rappelle poétiquement dans son livre Manières d’être vivant que rien que l’acte de boire régulièrement de l’eau et de saler notre nourriture nous ramène à nos origines : cet océan salé dont notre ancêtre commun s’est extirpé il y a des millions d’années pour gagner le milieu terrestre. Cette origine a laissé des traces dans notre métabolisme par le simple fait d’être constitué à 65% d’eau et d’avoir besoin de sels minéraux pour le bon fonctionnement de notre organisme.
L’humain fait partie intégrante de ce qu’il nomme nature car il est issu du même milieu naturel que le reste du vivant.
ET SI LA NATURE N’EXISTAIT PAS ?
Pour Philippe Descola, professeur émérite et célèbre anthropologue spécialiste du rapport à la Nature, et Alessandro Pignocchi, ancien chercheur en science cognitive et en psychologie aujourd’hui écrivain et auteur de BD, la rupture entre la Nature et la culture aurait profondément façonné le rapport au monde des occidentaux. Ce concept aurait notamment permis l’avènement de la civilisation industrielle et justifié les systèmes de dominations et les destructions écologiques. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il est aujourd’hui possible de dépasser ce cadre de pensée qui nous emmène vers la catastrophe écologique en imaginant de nouveaux rapports aux mondes, une nouvelle organisation politique, au sens de l’organisation de la cité, respectueuse du reste du vivant :
https://www.youtube.com/watch?v=fV2VqJhxuEE
Ainsi, l’une des premières grandes solutions face à cette crise écologique serait en premier lieu de transformer notre rapport au monde, en changeant notre façon d’habiter la Terre.
On protège ce qu’on aime, et on aime ce qu’on connaît ».
Jacques-Yves Cousteau, explorateur océanographique
L’ENTRAIDE & L’IMAGINATION, LES AUTRES LOIS DE LA JUNGLE
L’IMAGINATION
Rob Hopkins, dans son livre Et si… on libérait notre imagination pour créer le futur que nous voulons ? édité en 2019 chez Actes Sud, aborde le pouvoir de l’imagination que le fait de passer du temps en nature nous offre.
Dans son livre, l’enseignant britanique en permaculture concentre un florilège de projets déjà existants qui traduisent le pouvoir immense qu’a la nature sur le développement de notre imagination corroborant les précédentes recherches évoquées plus haut. Il évoque notamment une étude qu’on réalisé 3 chercheurs en 2012 sur les incidences cognitives d’une excursion de 4 jours sans aucun appareil électronique sur un groupe de personnes qui n’avaient jamais randonné auparavant. Résultat : 50% plus créatifs à leur retour qu’à leur départ.
Ok, mais quel intérêt de développer notre capacité à rêver et inventer des choses ? Rob Hopkins explique que nous n’en avons jamais eu autant besoin qu’en ces temps de catastrophes écologiques. Nos modes de vie actuels mettent au placard notre imagination, la restreignent, pire, laissent place au désarrois, au déni ou à l’inaction. Une seule solution : passer du temps en pleine nature, libérer les esprits pour libérer l’imagination et penser demain autrement.
En effet, la théorie « évolutionniste » qui considère que la société capitaliste destructrice de l’environnement est la seule voie possible, n’est absolument pas la seule. David Grabber et David Wingrow l’expliquent dans leur dernier ouvrage Au commencement était…Une nouvelle histoire de l’humanité avec de nombreuses études anthropologiques à l’appui. Ces auteurs et autrices et chercheurs et chercheuses montrent que d’autres mondes sont possibles, plus respectueux du reste du vivant et des autres humains. Il suffirait d’oser les imaginer et les construire comme de nombreux.ses habitant.es de cette planète qui sont déjà à l’oeuvre partout dans le monde,
L’ancien monde s’effondre peut-être, mais même au sein de la catastrophe écologique, Rob Hopkins nous rappelle que c’est aussi la naissance d’une incroyable opportunité d’imaginer celui qui va suivre. Imaginer le monde de demain respectueux du reste du vivant, c’est faire de l’écologie, de la solidarité, de la frugalité et de la décroissance des projets hautement désirables. Les changements profonds qu’un mode de vie écologique et social demande peuvent être choisis et désirés car ils peuvent rendre particulièrement heureux. Et ça, c’est tout de même une sacrée bonne nouvelle !
LES ÉCOLIEUX
Bilan bas carbone, respect du vivant, développement de liens sociaux pour vivre et faire ensemble, s’éveiller à un autre rapport au monde du travail, à la coopération, et à l’autonomie pour plus de résilience, autant d’enjeux que les écolieux abordent de manière extrêmement diverses partout dans le monde et partout en France.
La Coopérative Oasis, créée en 2018, accompagne l’installation d’habitats participatifs sur le plan financier ou juridique. Afin de documenter le grand public et les institutions sur l’impact environnemental et social de ces lieux, la Coopérative a commandé diverses études, dont les résultats ont été récemment restitués. Energie, alimentation, logement : le bilan carbone des habitant.es des oasis est moindre que la moyenne nationale et les liens sociaux y seraient renforcés. L’empreinte carbone moindre des habitants des oasis peut s’expliquer par le lien au vivant qui est bien souvent fondamental dans ces écolieux.
// Lire l’article sur le sujet du magazine Kaizen
Pourquoi alors ne pas apprendre dès maintenant à connaître mieux le reste du vivant, apprendre à l’aimer et donc à le protéger, ressourcer son esprit, libérer son imagination et récréer des liens de solidarité avec d’autres humains sur nos territoires, pour faire avec, plutôt que seul dans son coin ?
INSCRIRE SON ENFANT EN CLUB « CONNAÎTRE & PROTÉGER LA NATURE »
Les clubs CPN sont nés en 1972 à l’initiative de Pierre Déom, auteur de la très célèbre revue La Hulotte qui parle de la nature en conciliant rigueur scientifique et humour (on vous la recommande chaudement!).
Comme rappelé plus haut, le temps passé dans la nature est plus qu’un temps de loisirs, c’est un investissement essentiel dans la santé des enfants. Renouer avec le vivant et avec d’autres c’est contrer la déconnexion et l’isolement et c’est éloigner le fameux « syndrome du manque de nature« . C’est aussi apprendre un nouveau rapport au monde où les autres êtres vivants sont bien nos compagnons et cohabitants de la Terre, et ce, sans sensiblerie aucune.
L’association Hirondelle propose ainsi à vos enfants une approche sensible et naturelle avec la nature via ses clubs CPN. Et qui sait, peut-être que les adultes suivront le mouvement ?
ENCOURAGER LES PROJETS NATURE À L’ÉCOLE
Afin que les enfants connaissent davantage de noms d’espèces indigènes (locales) qui les entourent plutôt que des marques en tout genre, l’association Hirondelle a initié plusieurs projets de découverte de la biodiversité dans les écoles du Pays-de-Retz grâce aux financements de fondations privées.
© Photo Frédérique Pezeron
Le premier projet se nomme “Biodiversité autour de l’école”, il est financé par Action pour la Terre et la fondation Bio-Nantes et consiste à faire intervenir un.e guide-nature régulièrement auprès de classes pour faire découvrir la trop souvent méconnue biodiversité locale aux élèves (et enseignant.es!) dans 6 écoles du Pays-de-Retz.
Le deuxième projet est en lien avec l’Office Français de la Biodiversité, et on espère bien qu’il va faire des petits. Il s’agit de créer une « Aire terrestre éducative” à Corsept (44) d’abord. Le but est d’attribuer une gestion participative d’un milieu naturel à des élèves et à leurs enseignant.es afin de les sensibiliser à la protection de leur territoire.
Si vous êtes enseignant.e, élu.e d’une commune, fondations, et intéressé.e contactez-nous pour mettre en place d’autres projets dans ce genre !
CRÉEZ VOTRE CLUB CPN
Rendez-vous sur le site de la fédération des CPN pour prendre toutes les informations nécessaires. Créez un groupe de quelques parents intéressés avec leurs enfants, et c’est parti pour passer du temps en nature !
Pour créer un club CPN, nulle besoin d’être un scientifique ou naturaliste de haut niveau, il suffit simplement et avant tout de passer du temps en pleine nature avec des enfants et d’autres parents. La fédération des CPN propose de nombreuses idées d’activités de pleine nature et des « livrets techniques », il y en a un sur l’approche sensible notamment.
Ainsi, entre copains copines ou en famille, au sein d’une école ou d’un centre de loisirs, d’une association nature ou socio-culturelle (MJC, foyer rural), dans un mouvement de jeunesse ou un Parc Naturel, autant de structures, autant de possibilités s’offrent à vous !
PARTICIPER AUX SORTIES NATURE
Chaque année depuis bientôt 30 ans, l’association Hirondelle propose des sorties nature grand public afin de vous initier au goût pour le reste du vivant via de nombreux thèmes : algues, champignons, oiseaux, botanique, compostage & vie du sol, animaux marins du littoral, pollinisateurs sauvages, animaux et plantes de la mare etc.
Ces sorties ont pour but de piquer votre curiosité et de vous inviter à réitérer les sorties par vous-même par la suite.
Pour approfondir vos connaissances et nourrir votre curiosité, des revues spécialisées sur la nature et/ou l’écologie existent (voir bibliographie en bas de page).
Bibliographie pour aller plus loin
Associations spécialisées dans l’éducation au vivant en Pays-de-Retz :
- FCPN, Fédération des clubs Connaître et Protéger la Nature
- LPO 44
- CPIE Logne et Grand Lieu
- CPIE Loire Océane
- CPIE Pays de Nantes – Écopôle
- Bretagne Vivante
- …
Livres :
- Psychologie positive et écologie de Lisa Garnier, éditions Mondes Sauvages – Actes suds
- Manières d’être vivant de Baptiste Morizot, éditions Mondes Sauvages – Actes Suds
- Habiter en oiseau de Vincianne Desprès, éditions Mondes Sauvages – Actes Suds
- Ethnographies des Mondes à venir, Philippe Descola et Alessandro Pignocchi – Seuil
- L’entraide l’autre loi de la jungle, Pablo Servigne et Gauthier Chapelle – Les liens qui libèrent
- Et si.. On libérait notre imagination pour créer le futur que nous voulons de Rob Hopkins – Actes Sud / Colibris
- Nous ne sommes pas seuls, de Léna Balaud et Antoine Chopot – Seuil
- Croire aux fauves, de Nastassja Martin – Gallimard
- Printemps silencieux, de Rachel Carson – Wildproject
Podcasts :
- Les veilleurs du vivant : enquête sur ces naturalistes amateurs – La Terre au Carré, France Inter
- Comment se reconnecter à la nature ? – Grand Bien vous fasse ! France Inter
- Pourquoi notre cerveau a-t-il besoin de la nature ? La Vie, mode d’emploi, France culture
BD :
- Hubert Reeves nous explique la biodiversité – de Hubert Reeves, Nelly Boutinot, Daniel Casanave – éditions Le Lombard
- Petit traité d’écologie sauvage, d’Alessandro Pignocchi – Steinkis, tomes 1 à 3
Emissions / documentaires :
- Comprendre la Nature, série docu – ARTE
- Un Monde nouveau série docu de Cyril Dion – ARTE
- Zoom FCPN « L’approche sensible en éducation à la Nature »
- Les idées larges, par Laura Raim, Qui a inventé la Nature ? – ARTE
- Animal, de Cyril Dion
Presse écrite :
- Revue La Salamandre
- Hors série de la revue La Salamandre « Sauvage où es-tu ? »
- Revue La Hulotte
- Reporterre, le média de l’écologie
- Magazine Kaizen, explorateur de solutions écologiques et sociales
- Article du média L’ADN, « Homo confort » pourquoi notre quête effrénée du confort nous perdra
- Article Reporterre « L’expérience de Nature menacée d’extinction »